Quand reviendras-tu ? Mary Higgins CLARK

Auteur : Mary Higgins Clark

Editions : Albin Michel

Pages : 437

Prix : 22,50 €

 

 

Quatrième de couverture

Désespérée par l'enlèvement de son petit garçon dans Central Park deux ans plus tôt, Alexandra « Zan » Moreland, belle et talentueuse architecte d'intérieur, se voit avec effroi soupçonnée d'avoir elle-même kidnappé l'enfant. Traquée par la police et les médias, Zan n'arrive pas à comprendre qui a intérêt à la faire accuser. Malgré la peur, malgré les doutes, la jeune femme, persuadée que son fils est toujours vivant, se lance dans une enquête qui pourrait bien mettre en péril sa vie et celle de ses proches...

 

 

 

Mon avis

 

Mary Higgins Clark nous offre encore un excellent livre, plein de suspens et, en ce qui me concerne, de stress :)

 

Le livre débute le jour de l’anniversaire de Matthew, le fils de Zan, kidnappé deux ans plus tôt.

Alors que Zan et son ex mari se retrouvent pour l’anniversaire de leur fils disparu, des journalistes viennent les harceler car une photo vient d'être révélée montrant Zan en train de kidnappé son fils.

 

A partir de là tout s'enchaîne et Zan doit absolument prouver son innocence et faire en sorte que son fils soit retrouvé car elle reste persuadée qu'il est vivant.

 

Pour cela Zan va pouvoir compter sur son amie, et détective amateur, Alvirah Meehan et son mari, Willy.

Alvirah et Willy sont maintenant des personnages récurrents dans les romans de MHC notamment dans ceux qu'elle écrit en collaboration avec sa fille, Carol.

 

Comme d'habitude, MHC nous entraîne dans une histoire palpitante, pleine de rebondissement et son style est toujours impeccable.

 

Pour ne pas changer, je pensais avoir trouvé la clef de l'histoire mais j'avais tout faux et très franchement je crois que mon petit cerveau retors (dans le sens de tordu bien évidemment!) n'aurait pas pu imaginer cela.

Ce n'est que lorsque l’auteure a décidé de nous donner des indices que l'on peut enfin dénouer l'histoire... et cela ne se passe que 50 pages environ avant la fin.

 

Ccl : un très bon MHC à lire sans hésitation